Le nouveau plan d’urbanisme de la ville de Grasse, adopté le 6 novembre, quintuple les surfaces agricoles qui viennent de passer de 4 % du territoire de la commune à 21 %. Le but de cette libération de territoires réservé à l’urbanisation : pouvoir avoir davantage de champs de plantes à parfum.
Connue mondialement pour son savoir-faire dans le domaine du parfum, la ville de Grasse a pourtant failli perdre sa production locale de plantes à parfum au milieu des années 2000 à cause de la concurrence des fleurs cueillies à moindre coût dans le reste du monde et la pression immobilière. La production locale recommence à augmenter depuis une dizaine d’années.
Source : m.epochtimes.fr
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