SPORT AUTO VOYAGE HIGH-TECH BRICOLAGE WEEK-END RESTAURANT PHOTO LIFESTYLE GUIDES D’ACHAT CARTE DE VOEUX DICTIONNAIRE ENCYCLOPÉDIE JEUX COPAINS D’AVANT SALON LITTÉRAIRE MENU Politique Elections européennes 2019 : déjà une polémique [date, candidats, sondage]

EUROPÉENNES – Le gouvernement a mis en ligne un clip pour inciter les Français à aller voter aux élections européennes 2019. L’opposition y voit un message de propagande qui ne répond pas aux règles de l’exercice.

DERNIÈRES ACTUALITÉS DES ÉLECTIONS EUROPÉENNES

L’actualité du 2 novembre 2018 – Polémique sur un clip du gouvernement pour inciter les Français à participer aux Européennes. Mise en ligne le 26 octobre dernier, la vidéo officielle suscite de plus en plus de commentaires critiques sur le caractère orienté que d’aucuns y voient. Benoît Hamon a fait savoir ce jeudi 2 octobre qu’il avait saisi le CSA et la commission nationale des comptes de campagne. En cause : la tonalité dramatique d’un spot qui pose les enjeux de l’élection européenne sur la dichotomie entre nationalistes et progressistes. L’opposition considère que le gouvernement reprend les arguments du parti La République en Marche sur la façon de considérer le scrutin, fustigeant une “propagande” visant à faire des européennes un match entre les anti-européens et le parti de la majorité.

En mai 2019, l’Europe changera. En votant, vous décidez comment !

L’actualité des européennes du 31 octobre 2018

Ségolène Royal sera-t-elle candidate aux élections européennes ? Et si oui, pour quelle formation politique ? “Je réfléchis”, a-t-elle répondu malicieusement aux journalistes qui l’interrogeaient ce matin sur France Inter. “C’est vrai que je suis aujourd’hui sollicitée, je regarde”, a-t-elle fait savoir, ajoutant : “Ce n’était pas du tout mon idée ni l’itinéraire que j’avais imaginé d’être candidate et de replonger dans la vie politique avec les épreuves que ça représente”. Mais aujourd’hui, manifestement, les choses ont changé. Ségolène Royal a précisé qu’elle donnerait une réponse “au mois de janvier” sur ses intentions. Il est vraisemblable, si elle choisit de faire campagne, qu’elle ne porte pas la liste socialiste, mais plutôt une liste écologiste et de gauche, plus large. Au PS, en tout cas, cette éventualité ne semble pas écartée. Le Premier secrétaire, Olivier Faure, a considéré la semaine dernière que Ségolène Royal était “une grande figure de la gauche et de l’écologie et à ce titre-là, elle peut incarner ce rassemblement”. Cette candidature changerait considérablement la donne à gauche : quid de la pertinence d’une candidature de Benoît Hamon, qui entend porter son mouvement, Génération.s ? Quid de EELV, qui compte sur les européennes pour peser dans le jeu politique ? Jusqu’où Ségolène Royal pourrait-elle rassembler ?

Ségolène Royal sera-t-elle à la tête d’1 liste PS et écologistes : “Je ne sais pas. Pour une fois je vais choisir en fonction de ce que j’ai envie personnellement et éventuellement si je peux être utile … on verra en janvier”

 L’actualité des européennes du 30 octobre 2018
Une étude minimise le péril populiste pour les élections européennes de mai 2019. L’Institut Jacques Delors a publié une analyse sur le scrutin, relativisant une éventuelle percée des partis dits “nationalistes” au Parlement européen. Selon les prévisions des experts, ces derniers ne devraient pas représenter plus de 25% de l’hémicycle, contre 20% aujourd’hui. Les rédacteurs de cette étude rappellent que les divisions au sein de ces partis sur la stratégie à adopter en Europe sont trop nombreuses pour leur permettre de peser politiquement. Autre enseignement, selon les projections effectuées : le principal parti de droite, le PPE et le principal parti de gauche, le PSE “resteraient respectivement les premier et second groupes au Parlement européen, mais sans atteindre, à eux deux, la majorité absolue”.
L’actualité des européennes du 25 octobre 2018
Alain Juppé s’exprime sur le scrutin européen. Dans un entretien donné à BFMTV, le maire de Bordeaux a laissé entendre qu’il ne partageait pas la ligne LR pour l’élection européenne. “Ce que je ne voudrais pas, c’est que cette élection européenne se transforme en un référendum pour ou contre Macron. Il faut qu’on parle d’Europe, des vrais enjeux, quelle politique migratoire, quelle politique de croissance, quelle politique numérique, quel rapport avec l’Afrique…” Et d’ajouter : “Il faut que tous ceux qui croient que l’Europe est notre avenir et pas notre passé, que c’est une chance et non pas une contrainte, se réunissent, indépendamment des clivages politiques”. Il y a quelques mois, Alain Juppé avait avancé l’idée d’une possible liste centrale autour de LREM, mais ne parle plus désormais de cette hypothèse.
L’actualité des européennes du 24 octobre 2018
 La candidature de Jean-Marie Le Pen devrait rester lettre morte. Selon les informations de RTL, Marine Le Pen n’aurait pas du tout l’intention d’investir son père pour l’élection européenne de mai prochain. “Elle n’a pas mis trois ans à virer son père pour le récupérer maintenant. Jean-Marie Le Pen a été mis sous cloche par sa fille, alors il agite un peu les bras pour qu’on le remarque, c’est classique”, a confié un cadre à la radio. Et RTL de laisser fuiter cette petite phrase de Marine Le Pen, qui refuse de parler de politique avec le “menhir” : “Quand il me lance sur le sujet, j’enchaîne tout de suite sur autre chose sinon on finit par s’engueuler”.

ELECTIONS EUROPÉENNES : DATE, SCRUTIN, RÉSULTAT DES SONDAGES… TOUT SAVOIR

Le Parlement de l’Union européenne se renouvelle tous les 5 ans. Les prochaines élections européennes, qui se tiennent au mois de mai 2019, vont permettre aux citoyens de tous les pays membres de l’Union de désigner qui seront les députés européens jusqu’en 2024. Le scrutin, en France, sera le premier depuis les élections législatives qui ont donné une majorité à Emmanuel Macron. Nul doute, donc, que le résultat de cette élection européenne prendra une dimension nationale : une partie des citoyens français s’exprimeront sans doute pour marquer leur soutien au gouvernement ou bien pour en sanctionner sa politique.

Depuis 1979 et le premier scrutin, chaque élection européenne est  aussi un moyen pour les électeurs de s’exprimer sur la politique menée à l’échelle nationale, ce qui, pour de nombreux observateurs, biaise le résultat de l’élection et donc la composition du Parlement européen. En 2019, pourtant, les Français auront le choix entre des partis politiques dont la position sur l’Europe est assez tranchée : les citoyens peuvent choisir entre les pro européens, attachés à l’institution et qui défendent l’idée de davantage d’intégration ; les souverainistes euro compatibles, qui veulent réformer l’Union et qui luttent contre toute forme de fédéralisme ; les anti-Union européenne, qui considèrent que la France doit soit imposer de nouvelles négociations sur les traités actuels, soit quitter l’Union ; les farouches opposants à l’Union européenne, qui veulent quoi qu’il arrivent sortir du “carcan” de Bruxelles.

Date des élections européennes

Le scrutin ne se tient pas le même jour dans tous les pays de l’Union européenne, il se déroule habituellement du jeudi au dimanche de la même semaine. Le 20 mars dernier, le Conseil de l’Union a proposé au Parlement que les élections européennes aient lieu du 23 au 26 mai 2019. Ces dates ont été retenues, ce qui signifie que le scrutin se tiendra en France le dimanche 26 mai 2019. Compte tenu du mode du scrutin, il n’y a qu’une seule date, puisqu’il n’y a qu’un seul tour avec une seule vague de résultats pour ces élections européennes au niveau national.

Elections européennes : mode de scrutin

Dans tous les pays de l’Union européenne, l’élection européenne s’effectue au suffrage universel direct, sur un scrutin de liste et proportionnel. Il existe cependant des spécificités selon les pays de l’Union. La plupart organise un scrutin sur une circonscription unique, à l’échelle nationale. Quelques pays ont décidé de créer des circonscriptions régionales : l’Italie, la Pologne, la Belgique, l’Irlande (le Royaume-Uni, désormais exclu du scrutin). Des listes différentes y sont proposées : il y a une élection dans chaque circonscription.

La France est revenue à la constitution d’une liste nationale unique, une modification validée définitivement par le Parlement. Les élections européennes 2019 marquent donc la fin du scrutin dans 8 circonscriptions différentes (Est, Sud-Ouest, Sud-Est, Massif central-Centre, Île-de-France, Nord-Ouest, Ouest et Outre-Mer). L’exécutif a justifié cette décision, parlant d’une réforme qui offre “la garantie d’une lisibilité accrue pour l’électeur et une évolution cohérente avec la volonté de renforcer le caractère européen du scrutin”.

Election européenne en France

Le traité de Lisbonne a en 2009 fixé le nombre de députés européens à 751. La France dispose de 73 élus, c’est-à-dire un peu moins de 10% de l’ensemble de la chambre. Mais compte tenu du Brexit et de la sortie du Royaume-Uni de l’Union européenne, les choses évoluent. La commission des affaires constitutionnelles du Parlement européen propose que le nombre de sièges soit réduit à 705 avec une redistribution vers quelques pays. La France pourrait voir augmenter le nombre d’eurodéputés qui lui est dévolu, de 73 à 79.

Sondages sur l’élection européenne

Attention avec les premiers sondages publiées : la campagne des élections européennes ne commencera que dans quelques mois, on ignore d’ailleurs quelles seront toutes les formations politiques engagées dans le scrutin, s’il y aura des rapprochements et des fusions de listes dès le premier tour. On ignore aussi, pour nombre de partis, quelles personnalités politiques mèneront cette campagne et qui sera candidat.

Le dernier sondage sur l’élection européenne date du 5 septembre 2018. Il s’agit d’une étude de l’institut Ifop pour Paris Match, CNews et Sud Radio. Voici les résultats de ce sondage : LREM et Modem : 20% ; Rassemblement national : 17% ; Les Républicains : 15% ; La France Insoumise : 14% ; EELV : 7,5% ; Debout la France : 6,5% ; Parti socialiste : 6% ; Génération.s : 3% ; UDI : 2,5% ; PCF : 2% ; NPA : 2% ; Les Patriotes : 1% ; UPR : 0,5%.

Le 12 juillet 2018, un sondage a été effectué par Ipsos pour Le Monde et Sciences Po. Selon cette étude, les intentions de vote sont les suivantes : LREM et Modem : 26% ; RN : 18% ; LR : 15% ; LFI : 13% ; DLF : 7% ; PS : 4% ; Génération.s : 4% ; EELV : 4% ; UDI : 3% ; LO : 1% ; NPA : 1% ; PCF : 1% ; Les Patriotes : 1% ; UPR : 1% ; Résistons ! : 1%.

Le 28 juin 2018, Ifopa publié un sondage sur un large échantillon de 1504 personnes pour CNews et Sud Radio. Les intentions de vote étaient les suivantes : LREM et Modem en tête (23%), devant RN, ex-FN (19%), LR (15%), la France Insoumise (11%), le PS (6%), EELV (6%), Debout la France (6%), Génération.s (3%), le PCF (2,5%), UDI (2,5%), Les patriotes (1%), l’UPR (1%), extrême gauche (1%).

Le 30 mai 2018, Elabe a réalisé un sondage pour BFMTV. En tête des intentions de vote : LREM, créditée de 24% des voix, suivie du Front national (19,5%). Viennent ensuite Les Républicains (15%), la France insoumise (10%), EELV (8%) et le parti socialiste (6%). Debout la France est crédité de 5,5% des intentions de vote, l’UDI et Agir de 2%, la liste des Patriotes de 1,5%, Génération.s de 1,5%, l’UDI de 1%, tout comme le PCF.

Le 16 mai 2018, un sondage Ifop pour Valeurs actuelles testaient aussi l’ensemble des formations politiques. Le parti qui arrive en tête est LREM (27%), devant le Front national (17%), Les Républicains (15%), La France Insoumise (14%), le Parti socialiste (7%), Debout la France (6%), EELV (3%). Générations  le parti de Benoît Hamon est crédité de 3% des suffrages. A noter : 8% des sondés indiquent qu’ils voteront pour une “autre” formation politique.

Un premier indicateur avait été donné en décembre 2017, avec un sondage effectué par l’Ifop pour Le Figaro. Cette enquête donnait les résultats suivants en terme d’intentions de vote : LREM et Modem : 26% ; Front national : 17% ; France Insoumise : 14% ; Les Républicains : 12% ; Parti socialiste : 8% ; Debout la France : 6% ; EELV : 4% ; Agir et UDI : 3,5% ; les Patriotes : 2% ; Parti communiste : 2% ; UPR : 1,5%.

Elections européennes : qui est candidat ?

Peu de partis politiques ont désigné leurs candidats, ne serait-ce que les têtes de listes qui porteront la campagne des européennes 2019. Tour d’horizon par formation politique :

L’élection européenne de La France Insoumise

Le parti de Jean-Luc Mélenchon a déjà choisi : les deux candidats têtes de liste des Insoumis seront Charlotte Girard et Manuel Bompard. La première est une universitaire de 43 ans, maître de conférence en droit public à Nanterre, le second est un mathématicien de 32 ans. Tous deux sont très proches de l’ancien candidat à l’élection présidentielle. Pour l’heure, il s’agit d’un “duo”, mais le comité électoral de La France Insoumise devra bientôt trancher pour savoir qui est la véritable tête de liste.

Pour l’heure, c’est bien Jean-Luc Mélenchon qui est en première ligne. C’est lui qui a mobilisé ses troupes mardi 30 octobre en meeting à Lille. Le leader de la France insoumise veut faire des élections européennes un référendum contre Emmanuel Macron. “Si vous ne voulez plus de ce monsieur qui recopie en France les directives de la Commission européenne, vous avez un bulletin de vote”, avait-il défendu sur BFMTV, ajoutant, en référence à la démission de Charles de Gaulle en 1969 : “Autrefois, les présidents battus aux référendums s’en allaient. On peut imaginer qu’il comprendrait alors qu’il faut parti”.

L’élection européenne du Parti communiste français

Pas d’alliance avec la France Insoumise. Le PCF a d’ores et déjà investi sa propre tête de liste, Ian Brossat, adjoint à la mairie de Paris. Les communistes n’excluent pas un rapprochement avec le parti de Benoît Hamon, des discussions devraient avoir lieu au mois de septembre.

L’élection européenne du Parti socialiste

En pleine reconstruction, le PS compte sur l’élection européenne pour tourner la page du désastre de l’élection présidentielle. Pour remobiliser son électorat, le parti espérait convaincre Christiane Taubira de se porter tête de liste pour le scrutin, mais l’ancienne ministre de la Justice a décliné la proposition. Le temps presse et personne ne semble vraiment faire l’unanimité. 3 prétendants ont fait part de leur volonté de briguer la tête de liste : Pierre Moscovici, Julien Dray et Christian Eckert.

L’élection européenne de EELV

Les écologistes font confiance à l’eurodéputé sortant et ancien candidat à la présidentielle Yannick Jadot. Ce dernier entend bien conduire son parti dans cette élection sans faire d’alliance avec la formation de Benoît Hamon, Génération.s. Au Journal du Dimanche, le 19 août, Yannick Jadot a considéré que la campagne menée avec celui qui a finalement obtenu 6% des voix a été “un échec assez retentissant”. Et d’ajouter : “Il n’est pas interdit d’apprendre de ses erreurs”. Yannick Yadot semble convaincu qu’EELV a tout intérêt à se démarquer. “L’élection européenne est le seul scrutin où les électeurs votent par conviction. C’est un vote de clarté. Notre priorité est de rassembler les écologistes autour d’une ligne claire, pas de faire de la vieille politique avec ses accords d’appareils et ses confusions”, dit-il au JDD.

L’élection européenne chez Générations

Il est probable que Benoît Hamon soit tête de liste pour les élections européennes, mais rien n’est arrêté. L’ancien candidat socialiste, qui a quitté son parti à l’automne dernier pour créer sa propre formation, compte sur ce scrutin pour faire vivre médiatiquement son parti politique. Fin août 2018, il avait indiqué au JDD qu’il ne se “déroberait pas”. Le Point révélait début octobre qu’il s’était confié à quelques journalistes, en privé, laissant filtré ses intentions : “Je ne démens pas que je m’y prépare”, aurait-il dit. “Les européennes sont un combat sérieux. S’il ne devait y avoir qu’une liste Génération·S, il est clair que c’est à moi d’y aller”, aurait-il ajouté.

L’élection européenne de LREM

Alors que les sondages laissent envisager au parti de Christophe Castaner une victoire à l’élection européenne, la question de l’incarnation de la campagne est encore plus sensible. LREM souhaite renouveler la performance des législatives de juin 2017, en misant sur de nombreuses candidatures issues de la société civile, d’autant que des personnalités publiques pourraient être intéressées. Depuis plusieurs semaines, il est même question de convaincre l’astronaute Thomas Pesquet… Le nom de Nicolas Hulot pour porter la liste du parti du président revient aussi avec insistance.

L’élection européenne de Les Républicains

Laurent Wauquiez ira-t-il au charbon ? Si quelques cadres l’y incitent  Nicolas Sarkozy notamment , le patron de LR ne compterait pas se constituer tête de liste pour l’élection européenne du 26 mai 2019. Pour l’heure, trois personnalités de la droite ont manifesté leur envie de porter la liste LR : Nadine Morano, Rachida Dati et Brice Hortefeux. Trois sarkozystes historiques.

L’élection européenne du Rassemblement national (RN, ex-FN)

Le RN (ex-FN) et Debout la France ne feront pas liste commune pour les élections européennes. Pourtant, en mai 2018, Marine Le Pen avait fait un grand pas vers son allié du second tour de la présidentielle, prenant la plume pour rédiger une lettre ouverte adressée directement à Nicolas Dupont-Aignan. Elle lui proposait un rapprochement pour le scrutin de 2019, mais sans lui proposer la tête d’une liste commune. Elle lui demandait simplement une “présence symbolique”, avec elle, “aux dernières places de cette liste”. Le leader de Debout la France a répondu par la négative.

Louis Aliot, vice-président du RN, est candidat à l’investiture de la tête de liste, et semble être le favori pour porter cette campagne pour son parti. Jean-Marie Le Pen, lui, préférerait voir un cadre historique de l’extrême droite prendre en main la tête de liste. Dans son “journal de bord”, rendez-vous hebdomadaire qu’il donne sur son site Internet, Jean-Marie Le Pen parlait mi-octobre ouvertement du scrutin et donne son sentiment sur le meilleur candidat : “Bruno Gollnisch me paraît être l’homme le plus qualifié pour tenir la tête de cette liste ”, dit-il avant d’ajouter : “J’accepterai moi-même d’y figurer”.

L’élection européenne de DLF

Nicolas Dupont-Aignan, leader de Debout la France, a officialisé sa candidature aux élections européennes le 23 septembre, lors du congrès de son parti, au Cirque d’hiver. Il appelle à une nouvelle union de la droite : “Notre liste est l’occasion magnifique de rassembler tous les patriotes et républicains d’où qu’ils viennent”, a-t-il lancé devant ses partisans, osant même cet appel aux leaders de LR et de RN, Laurent Wauquiez et Marine Le Pen : “Vous n’êtes pas candidats […]. Soutenez notre liste d’union, la seule qui mettra une bonne droite à Macron”.

Qui vote à l’élection européenne ?

Tous les citoyens européens peuvent voter pour les élections européennes. En France, pour participer au scrutin, il faut avoir au moins 18 ans, résider sur le territoire français être ressortissant d’un pays membre de l’Union européenne et ne pas être privé par la loi de ses droits civils et politiques. Les étrangers peuvent donc bien voter à cette élection et choisir parmi des listes présentées en France, à condition d’être bien inscrit sur les listes électorales.

Résultat de l’élection européenne

Actuellement, la répartition des sièges, issue du résultat des européennes en 2014, est la suivante : 20 élus Les Républicains et assimilés ; 17 élus Front national et assimilés ; 13 élus socialistes et assimilés ; 7 élus centristes ; 6 élus EELV ; 4 élus France insoumise et PCF ; 3 élus Les Patriotes et 4 non inscrits.

%d blogueurs aiment cette page :